U'thaï femme de la ville
Celle qui part très loin de son village.
Nous allons donc passer une semaine à la grande ville : New York city.
Premier avertissement, il faut arriver suffisamment tôt a l'aéroport car au niveau desembarquements; les Américains peuvent être pénibles.
Mardi 26 juillet
Débout à 4h00 du mat pour un premier avion qui décolle à 6h00 du mat de Toulouse.
Pour l'aller nous aurons droit à un Toulouse-Bruxelles puis
Bruxelles-New York.
Le trajet est tout de même très long... J'ai eu le temps de visionner 4 films dont "un long dimanche de fiançailles".
Arrivée 12h30 à New York où le passage de la douane se déroule sans problème.
Ensuite la prise d'un taxi se fait sans aucune difficulté.... directionAndaz Hotel.
Le temps de prendre la clé, de déposer nos valises dans la
chambre et nous voilà déjà en pleine rue.
Celle qui même aux Etats-Unis aime les histoires d'amour à la française....
Retour sur un chef d'oeuvre découvert sur le vol Bruxelles-New York.
En 1919, Mathilde a 19 ans. Deux ans plus tôt, son fiancé Manech est parti sur le front de la Somme. Comme des millions d'autres, il est "mort au champ d'honneur".C'est écrit noir sur blanc sur l'avis officiel. Pourtant, Mathilde refuse d'admettre cette évidence. Si Manech était mort, elle le saurait !
[Avant la guerre, Manech et Mathilde sont face à la mer. Manech a gravé 3 grands M dans la roche tandis qu'un albatros vole au-dessus d'eux]
Manech[hurlant] : Manech aime Mathilde ! Mathilde aime Manech ! Manech aime Mathilde, Mathilde aime Manech ! Manech aime Mathilde !!!
Mathilde : Mais alors, la dernière fois que vous avez vu Manech, il était toujours vivant ?
Célestin Poux : Ben, pour ce qui était de le voir, on risquait pas de le rater, hein ? Au lieu de se planquer, il s'échinait à graver un M sur un tronc calciné, debout au milieu de la terre de personne. Paraît qu'il a eu le temps d'en graver trois, des M, avant de se faire dégommer par l'Albatros.
Mathilde : L'albatros...
Célestin Poux [déclamant] : "Albatros, vastes oiseaux des mers qui suivent, indolents compagnons de voyage, les navires glissant le long des gouffres amers". C'est du Charles Baudelaire, Mademoiselle. Mais, en 1915, l'Albatros, c'était surtout un avion boche, avec la mitrailleuse placée à l'arrière, parce qu'à l'époque, on tirait pas encore à travers l'hélice.
Celle qui adore la couleur jaune, devenue mondialement légendaire, des taxis de cette ville.
La première chose qui nous marque, ceux sont les taxis... Il y en a partout, partout !!! Dans toutes les rues ou presque.... C'est plus qu'un symbole, c'est une identité.
Nous l'avons pris qu'une seule fois en
revenant de l'aéroport. Notre chauffeur était étranger, indien, il me semble,
comme la plupart des chauffeurs apparemment. Il n'était pas très rassurant, mais, faut pas s'inquiéter car je suis de nature trouillarde.... A l'intérieur du taxi,j'avais également l'impression d'être dans une voiture blindée. Un écran télé s'allume aussi dès que nous montons, il diffusent les infos et on peut suivre notre parcourt grâce au Gps.
Celle qui comprend vite que New York c'est le nez en l'air et la tête dans tous les sens... pour tenter d'en capter un maximum.
Métro, restaurant, musée, magasin, club,
taxi, square, métro, néons, bruit, sentir,
courir, marcher, voir. La Grosse Pomme
donne envie de la dévorer, mais il faudrait une vie pour faire le tour de toutes ses
saveurs.
Car tant d'énergie m'a vite fatiguée...
Celle qui tente de repérer les alentours de son hôtel.
Bryant Park
Jardin perdu au milieu des gratte-ciels de Manhattan:avec ses pelouses vertes et ses chaises, ses tables et son carrousel, ses jeux d'échec et ses lecteurs...
Celle qui ouvre grands ces yeux.
Voici la “magnifique” New York Public Library.... Je n'ai pas mis les pieds à l'intérieur... pas le temps pour la lecture !!!... En revanche comment trouvez vous les lions qui protègent son entrée ?